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Les forces des services de renseignement iraniens ont démantelé un groupe terroriste lié à l'OMK

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le logo du ministère iranien du Renseignement (à droite) et le drapeau national de la République islamique d'Iran.

Les forces des services de renseignement iraniens ont démantelé une équipe de sabotage affiliée au groupe terroriste, l’Organisation des Moudjahidines-e Khalq [OMK], dans le sud-est de Téhéran.

Mohammad Hassanpour, gouverneur du district de Pakdasht, a fait cette annonce mardi 5 août, affirmant que l’équipe de trois membres opérait dans le but d’attiser l’insécurité et de perturber l’ordre public.

L’intervention des forces de renseignement a été le fruit d’une opération de surveillance minutieuse, permettant ainsi de localiser et d’appréhender les membres de cette équipe.

Hassanpour a noté que les ennemis ont toujours cherché à embaucher des individus pour perpétrer des actes de violence et former des équipes de sabotage, soulignant que les trois suspects détenus sont actuellement soumis à des interrogatoires.

Il a affirmé que le pouvoir judiciaire et les forces de sécurité s’engagent à traiter avec fermeté toute action criminelle menaçant la sécurité publique, en veillant à ce que des éléments hostiles ne puissent pas infiltrer le pays et opérer en toute impunité.

En plus de cette atrocité, l’OMK a mené de nombreuses attaques terroristes contre des civils et des responsables gouvernementaux iraniens au cours des trois dernières décennies. Sur près de 17 000 Iraniens tués dans des attaques terroristes depuis la victoire de la Révolution islamique de 1979, environ 12 000 ont été victimes d’actes terroristes perpétrés par l’OMK.

Le groupe était considéré par l’Union européenne comme organisation terroriste jusqu’en janvier 2009, date à laquelle le Conseil de l’UE a levé cette désignation sous la forte pression des lobbies politiques. Cette décision a été suivie par les États-Unis en septembre 2012.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV